Je co-anime ce groupe, à la demande, avec le Dr Wassilis Zaruchas, psychiatre, psycho-somato-analyste, formateur et superviseur de psychothérapeutes. Créateur du somatodrame analytique, auteur « Le somatodrame, la thérapie pour guérir de ses drames » https://www.somatodrame.fr/
Envie de résoudre vos conflits relationnels ? Comprendre vos véritables besoins ? Sortir des états de souffrance liés à des troubles de l’humeur ? Guérir des phobies et des somatisations ? Transformer vos failles, blessures, traumas en élan de vie ?
Notre approche se fonde sur l’intégration du cœur, du corps, de la création et de la parole dans le processus thérapeutique. Nous vous invitons à plonger en toute sécurité dans les profondeurs de votre être, vos parts de lumière comme d’ombre. Vous appréhenderez toutes vos dimensions : mentales, affectives, corporelles, relationnelles.
Le somatodrame (soma, le corps, drama, l’action), permet de mettre des mots sur nos maux, de conscientiser le lien entre le présent (les émotions vécues) et le passé (les souvenirs). Il interpelle le sujet dans sa globalité et fait dialoguer le pôle psychologique (le domaine souvent surinvesti du cognitif, de nos pensées, de nos réflexions), le centre affectif (lieu de notre caractère, de nos sentiments d’attachement, de rejet, de nos valeurs, de nos défenses…) et le pôle somatologique (lieu de notre tempérament, notre dimension physique, sexuée, nos sensations, nos maladies…).
Nos drames prennent souvent la forme de mélancolie, de dépression, de symptômes, de troubles psychosomatiques. Le jeu permet de comprendre le « je ». Le contact, le cri, l’action, la posture, tous ces langages non verbaux et tellement signifiants provoquent la précieuse verbalisation. Le corps sait (le corset). Le corps ne ment jamais.
Par la mise en acte du corps, donc, le protagoniste réactualise les traumatismes, en les revivant émotionnellement et corporellement dans la stygmi (l’ici et maintenant). Et cela grâce aux agonistes – les participants qu’il choisit pour incarner une partie de lui-même – en résonnance et en empathie, dans une relation intersubjective. Il puise dans son lieu thanatophore (lieu de survie morbide) une énergie qui se transforme en pulsion de vie (érotophore). Autrement dit, il renoue avec ses ressources et active sa « guérison ».
A la différence des constellations familiales ou du psychodrame, ce sont les différentes instances du protagoniste, intimement logées en lui, qui sont mises en scène (ses parents « introjectés », par exemple …). Ainsi, le somatodrame, analytique par essence, se réfère à l’inconscient. C’est, à mon avis, le complément idéal d’une psychothérapie verbale.
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